Cet été, on a vu se multiplier les gros titres mettant en garde contre l'avancée, en Suisse, du droit islamique de la famille. La NZZ am Sonntag a ouvert les feux en prédisant hardiment «le mariage par l'imam plutôt qu'à l'état civil». Aussi sec, l'éditorialiste Frank A. Meyer, qui se considère comme un courageux lanceur d'alerte s'agissant de l'islam, tirait vigoureusement la sonnette d&...