Le 1er mai, un défilé autorisé a été stoppé net par la police bâloise à peine quelques minutes après son départ. Près de 200 personnes, dont certaines cagoulées, ont été encerclées. Le syndicat Unia déplore une «attaque policière sans précédent» contre la manifestation pacifique. L’avocat bâlois Andreas Noll va plus loin dans le magaz...