Le 13 juin 2022, vous avez publié un article traduit de l’allemand, intitulé «La Suva, un centre de profit?». En tant que responsable du traitement des cas, je voudrais revenir sur certains points soulevés, qui pourraient donner la fausse impression qu’il n’y a plus de contacts personnalisés à la Suva. Or, ce n’est pas le cas. Il existe encore et toujours des personnes de contact directes pour les situations et les tâches exigeantes. Les case managers, par exemple, soutiennent personnellement les victimes d’accidents dans leur réinsertion professionnelle. Toutefois, les tâches simples et répétitives sont effectivement de plus en plus automatisées. Ce faisant, nous tenons compte de l’évolution des besoins de nos clients, une évolution due à la numérisation croissante. Nous serons ainsi en mesure de leur offrir, à l’avenir également, une gestion des cas appropriée et efficiente ainsi que des primes adaptées aux risques. Nous sommes en discussion avec des représentants du barreau et les remercions pour les échanges qui nous aident à résoudre les défauts de jeunesse dans la mise en place des processus.