Avec le développement de la législation contre le blanchiment et la corruption, dans les années 1990, le besoin s’était fait sentir d’améliorer les moyens d’action dans ce domaine. En l’an 2000, alors professeure de droit à la Haute Ecole de gestion de Neuchâtel (HEG Arc), Isabelle Augsburger-Bucheli a saisi la balle au bond: «Procédé peu courant, un appel d’offres avait été lanc&ea...