Le Service d’exécution a décidé que dès le 1er juillet 2014, les détenus ne pourraient en règle générale, plus appeler leur avocat par téléphone. D’éventuelles exceptions devront être autorisées par la direction. L’autorité d’exécution se serait vue contrainte à des économies et ne pourrait plus offrir le «service» antérieur.