Je connais Erwin Beyeler depuis trente-huit ans et j'apprécie les articles caustiques de Margrit Sprecher depuis presque aussi longtemps. Toutefois, je n'avais encore jamais entendu parler du goût de Beyeler pour les bottes et les armes: c'est tout à fait contraire à son personnage. De même, cette description ne correspond pas à Margrit Sprecher et à ses recherches minutieuses. Mais elle a omis de poser la question la plus importante:...