Le 20 mai 2011, la lutte contre l'impunité des responsables des violations graves des droits humains en Uruguay a essuyé un nouveau revers. Ce jour-là, le Parlement uruguayen a refusé d'annuler une loi controversée permettant d'amnistier de facto les crimes commis sous la dictature (1973-1985). La «loi de caducité» (Ley de Caducidad de la Pretensión Punitiva del Estado), adoptée en 1986, juste après la fin ...