L’«affaire Giroud» soulève chez l’homme de la rue des questions élémentaires. Comment se fait-il, comme le soupçonne la justice genevoise, qu’un détective privé puisse faire espionner deux journalistes dans leur sphère privée, en tentant d’infiltrer les ordinateurs professionnels de ces personnes, au mépris le plus élémentaire du droit pénal (art. 143, 143bis CP), de la prot...