Le cas de Rinaldo Andenmatten a fait sensation fin janvier: paru dans la Neue Zürcher Zeitung (NZZ), un article rappelait l’aventure de cet ingénieur civil de Viège (VS) qui avait dû rendre son permis de conduire en 2016 pour conduite en état d’ébriété. Contrôlé par la police, le Valaisan affichait une alcoolémie de 1,8 pour mille. Sachant que l’aptitude à conduire soulève des dou...