On savait que Claude Rouiller menait une «retraite» active notamment en rendant des expertises dans des affaires délicates comme celle de Skander Vogt ou celle des chalets illicites de Verbier, mais on ne le connaissait pas comme juge dans le domaine de la fonction publique internationale. Il est, en effet, président du Tribunal administratif de l’OIT, «une juridiction peu connue du public suisse, nous dit-il,  bien qu’elle siège &agrave...