«S’il y a treize ans, on identifiait encore majoritairement les auteurs d’infractions grâce aux empreintes digitales, la proportion s’est, aujourd’hui, totalement renversée en faveur des tests ADN.» Les chiffres cités par Jean-Christophe Sauterel, porte-parole de la Police cantonale vaudoise, sont frappants. En 2001, sur 170 identifications effectuées sur la base de traces retrouvées, 119 l’avaient été s...