N° 1 – Une motivation erronée

L’automobiliste qui avait fait un doigt d’honneur par la fenêtre de son véhicule à deux jeunes gens  a «provoqué lui-même le malheur qui s’est ensuivi», selon le Tribunal fédéral (arrêt 8C_932/2012 du 22 mars 2013). Il aurait créé activement la cause première de l’agression dont il a été ensuite ...