Cette proposition de modification de loi fait suite à la motion du 2 mars 2021 de Julien Eggenberger. Le député socialiste au Grand Conseil relevait très justement que «ces pratiques sont d’une extrême violence et ne sauraient entrer dans le cadre de la liberté d’expression ou dans celle de la liberté de conscience et de religion tant qu’elles induisent de la souffrance». D’autres cantons suivront l’exem...